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Avant de s’appeler Fidel Anthelme X, durant sept ans, nos éditions se sont nommées Intime Conviction. Intime Conviction était un groupement d’artistes, de poètes, qui refusaient la fixité d’un lieu et tentaient d’interroger l’espace intime de la création, de toute création. Ce qui nous intéressait, ce n’était pas d’avoir un lieu, une maison d’édition. Ce qui nous guidait, c’était la question : Comment inventer une poésie qui déborde partout ? Qui s’immisce en tous lieux du mystique au politique ? Nous nous enfermions alors dans des chambres d’hôtel*, creusions des trous*, fleurissions des noms oubliés au coin des rues*. Nous interrogions le précaire, (...)
La Commune insurrectionnelle qui débuta le 23 mars 1871 à Marseille, cinq jours après Paris et en solidarité avec elle, était écrasée dans la sang le 4 avril, après des combats de rue meurtriers et des bombardements intensifs ordonnés par le général versaillais Espivent de la Villeboisnet. Moins connue que sa grande sœur parisienne, la Commune de Marseille de 1871 ne manque pourtant pas de sources. Elle est abordée ici à partir des différents textes, proclamations, affiches et témoignages produits (...)
Vendredi 11 octobre 2024 au Grand Domaine à Marseille, l’Atelier les Communs a mis en espace et en voix les textes écrits de janvier à juin, dans l’Atelier de l’artiste Colas Baillieul qui accueillait ces rencontres.
En suivant le fil des écritures de Clarice Lispector, Anne Sexton, Liliane Giraudon, Pierre Le Pillouër, Ghérasim Luca, Robert Walser, Jaques Roubaud, Anne Boyer, William Burroughs, l’Atelier a tenté l’écriture de la nuit. Qu’elle soit cosmique, politique, physique, spirituelle... Comment on l’écrit la nuit ? Dans un monde assombri, l’écriture a permis d’extraire quelques éclats d’une lumière obscure pas facile à saisir. Les textes publiés ici en sont la trace.
(...)Pavlo Grigorievitch Tytchina (1891-1967).
Siècle XXème. Persifal.
Une voix venue de l’Est, comme un son émis par un verre en cristal à peine effleuré de l’ongle. L’on se prend à penser à la transparence des verres de Sébastien Stoskopff. Qu’on ne se méprenne pas. Si le carillon d’or vient de loin et fait sonner Sophie et Laure, il y a les corbeaux d’aujourd’hui en filigrane. Tissé de lumière éclatante et de noirceur esquissée et d’autant plus puissante, le vers se déploie comme géométriquement dans l’espace et le temps selon une petite musique aussi prégnante que la structure formelle de la strophe et de l’antistrophe. Et cette affirmation énigmatique que dit le recueil « Ni sonnets ni octaves », comme si le vers était appelé à abolir ce bibelot sonore qui est musique et poésie.
Yvan Mignot
Sur Sitaudis par François Huglo
Sur Sitaudis par François Huglo
Sur Remue.net par François Huglo
Sur Poesibao par Laurent Fourcaut
Sur Libr-critique par Bruno Fern
La revue Europe (Mai 2024) par Yves Boudier
sur Sitaudis par François Huglo
sur Libr-critique par Christophe Stolowicki,
sur Sitaudis par Esther Salmona
Toutes les villes sont géologiques et l’on ne peut pas faire trois pas sans rencontrer de fantômes, armés de tout le prestige de leurs légendes. Ivan Chtcheglov Cette année encore, les séances d’écriture proposées par Fidel Anthelme X se dérouleront dans un (...)
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